Le temps de «l’industrialisation» de la lutte contre la fraude dans l’assurance est venu. D’une part, ce risque s’est sensiblement accru, comme son coût.
Les pratiques sont là pour le démontrer:
implication de la criminalité organisée,
intensification de la fraude documentaire facilitée par les technologies numériques,
internationalisation et banalisation des actes frauduleux.
D’autre part, le nouveau cadre de la directive européenne Solvabilité 2 intègre la fraude comme un risque opérationnel que l’entreprise d’assurance doit évaluer sinon combattre. Il faut encore ajouter à cela que la fraude s’étend désormais aux assurances de personnes alors qu’elle impactait jusqu’à présent davantage l’assurance de dommages.
Dans ce contexte, les organismes d’assurance qui sont concernés, de près ou de loin, par la lutte contre la fraude, interne et externe, ont besoin d’acquérir des techniques et des méthodologies pratiques pour relever ces nouveaux défis.
Définir des liens pertinents entre les déclarations faites au moment de la souscription et au moment de la déclaration de sinistres.
Identifier les dossiers suspects en fonction de critères traçables et pertinents.
Utiliser le relais des réseaux sociaux.
Organiser la recherche d’anomalies par la non-concordance des informations déclarées et des informations relevées.
Distinguer les preuves utiles de celles qui ne le sont pas.
Choisir et justifier les éléments pertinents qui seront ceux à utiliser pour prouver une fraude.
Des contenus pragmatiques
Un apprentissage basé sur l’expérimentation
Un dispositif de coaching individuel
Chaque apprenant avance à son niveau et son rythme
Une pédagogie variée combinant études de cas pour mettre en pratique les acquis, exercices, autodiagnostic
Cette formation se déroule 100 % à distance : Full FOAD.
Moyens pédagogiques et Technologies utilisées
Evaluations
Validation
Aucun pré-requis n’est demandé pour suivre cette formation.